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En toute logique, Charlotte envisage donc de fonder sa propre agence de communication artistique, fruit d’une longue réflexion et prise de conscience de la difficulté du quotidien des artistes. Elle comprend rapidement qu’il leur est nécessaire de se démarquer dans un milieu compétitif grâce, entre autres, à une bonne gestion de leur communication. Aujourd’hui, c’est à cheval entre la France et la Belgique qu’elle travaille à offrir un accompagnement efficace pour les artistes. Elle développe un réseau de musiciens issus de divers univers, de la variété française à la pop-folk en passant par la soul américaine. Tout en privilégiant un facteur essentiel : un accompagnement personnalisé et de qualité.
Entre Paris, Marseille, Bruxelles et Liège, Charlotte pérennise des contrats et acquiert la confiance d’artistes de qualité et s’inspire dans la découverte constante de nouveaux talents. La musique et le digital n’ayant aucune frontière, Charlotte en véritable « digital nomad » balade son bureau et ses projets à travers le monde.
Très exigeante, la fondatrice de Musical Believers se met littéralement à l’écoute de chaque artiste et propose, après analyse, une communication sur-mesure. « Il faut au minimum trois à six mois pour développer un vrai plan de communication », explique-t-elle. Afin de trouver le « plus » qui fera la différence, Charlotte s’adapte à la personnalité, ainsi qu’au style musical de chaque artiste.
Elle travaille ainsi sur le community management, le référencement gratuit ou payant, la création de sites web, ou encore la gestion de partenariats afin de satisfaire son client. « La moitié de mon temps consacré aux artistes est du coaching, il faut aussi leur donner des conseils, des « clés » web pour qu’ils soient les propres acteurs de leur promotion ».
C’est d’ailleurs sur le critère de la passion que Charlotte recrute une armée de digital nomads pour faire grandir à ses côtés l’aventure Musical Believers. Une équipe passionnée par la musique qui s’enthousiasme à créer, innover et travailler sur chaque projet qu’elle choisit de défendre.
Bourreaux de travail, chez Musical Believers : « Le travail, comme la musique, est une drogue. Participer à la réalisation personnelle et professionnelle d’un artiste qu’on aime n’a pas de prix. »